POUR LES ENFANTS ET LES JEUNES
Au Sud-Kivu, il a actuellement des milliers d’enfants zéro dose, c’est-à-dire qui ne se sont jamais fait vacciner, et d’autres sous-vaccinés, c’est-à-dire qu’ils ont manqué plusieurs doses prévues dans le calendrier vaccinal. Cette situation qui met en danger la vie de ces enfants, a été […]
L’élection du président et de son comité de la Task Force Communication au Sud-Kivu est intervenue ce vendredi 15 novembre 2024 à l’issue d’une Assemblée générale élective organisée avec les points focaux des organisations membres de la Task Force sous les hospices de la division […]
Environ 40 journalistes, enfants journalistes du RJAE et enfants reporters de l’UNICEF, s’engagent à contribuer aux efforts visant l’amélioration de la couverture vaccinale en RDC. Ils l’ont dit ce mercredi 30 août 2023, à l’issue d’une formation organisée à Bukavu au Sud-Kivu, par le Programme […]
Le Programme Élargi de Vaccination (PEV) a organisé ce mardi 29 août 2023, une formation des journalistes et enfants journalistes, sur la vaccination. De 8h 30 à 17 heures, les journalistes ont été dans un atelier organisé par le PEV en collaboration avec le RJAE […]
Des centaines d’enfants sont sans-abris et vivent dans une grande précarité après un incendie monstre la nuit du 3 au 4 juin au Camp Zaire , dans la commune de Kadutu, ville de Bukavu en RD Congo. Watoto News vous replonge dans le quotidien des […]
ACTUALITÉS MULTIMÉDIADes centaines d’enfants sont sans-abris et vivent dans une grande précarité après un incendie monstre la nuit du 3 au 4 juin au Camp Zaire , dans la commune de Kadutu, ville de Bukavu en RD Congo.
Watoto News vous replonge dans le quotidien des enfants sinistrés dans les sites des incendies en général et au Camp Zaire en particulier à Bukavu.
Des situations assez récurrentes dans le chef lieu de la province du Sud Kivu et qui devraient interpeller les gestionnaires de la ville en matière de prévention des incendies .
Ainsi, avec plus de 500 maisons consumées, plusieurs enfants font face au froid, à la faim, et surtout à l’incertitude de reprendre l’école.
Ces enfants avec leurs parents crient « au secours » !
C’est un Dossier réalisé par Ernest Muhero
La campagne de vaccination contre la poliomyélite, phase 4, a été officiellement lancée ce mercredi 04 décembre 2024 à la maison communale de Bagira, dans la ville de Bukavu, au Sud-Kivu. Cet événement marquant vise à vacciner près de 2 millions d’enfants âgés de 0 […]
ACTUALITÉSLa campagne de vaccination contre la poliomyélite, phase 4, a été officiellement lancée ce mercredi 04 décembre 2024 à la maison communale de Bagira, dans la ville de Bukavu, au Sud-Kivu. Cet événement marquant vise à vacciner près de 2 millions d’enfants âgés de 0 à 5 ans dans la province. La campagne va se poursuivre du 05 au 07 décembre de l’année en cours.
La cérémonie de lancement a rassemblé plusieurs personnalités importantes, dont le chef de la division provinciale de la santé, le bourgmestre de Bagira, ainsi que le ministre en charge de la santé au Sud-Kivu et divers partenaires de santé. Ensemble, ils ont souligné l’importance de cette campagne pour protéger les enfants et garantir un avenir sans poliomyélite.
Ici, une mère de quatre enfants a partagé son témoignage poignant sur l’importance de la vaccination en exprimant sa gratitude envers les initiatives de santé publique qui visent à protéger les enfants contre cette maladie qui peut avoir des conséquences dévastatrices.
« Mon fils a reçu son vaccin sans problème. Aujourd’hui, je suis fière de dire que mon fils est protégé contre cette maladie. Je parle souvent à d’autres parents de l’importance de la vaccination. Chaque fois que je vois des campagnes de vaccination dans notre communauté, je me sens chanceuse d’avoir pu protéger mon enfant et contribuer à un avenir sans poliomyélite. Ce vaccin protège aussi mon enfant contre toute autre maladie évitable par la vaccination, » a-t-elle déclaré.
Prenant la parole à tour de rôle, les autorités sanitaires présentes à l’activité, ont appelé les parents à se mobiliser et à faire vacciner leurs enfants. Ces dernières ont précisé que la vaccination se fera de porte à porte et dans des lieux publics pour qu’aucun enfant dont l’âge requis, ne soit laissé.
« La vaccination est gratuite et accessible, et chaque dose administrée rapproche le pays de son objectif d’éliminer la poliomyélite, » ont indiqué les professionnels de santé.
Il sied de noter que le lancement de cette campagne s’inscrit dans le cadre des efforts continus pour lutter contre la poliomyélite en République Démocratique du Congo.
Le président Félix Tshisekedi a rencontré ce mardi 3 décembre à Kinshasa, un groupe de 50 enfants déplacés originaires de l’Est de la République Démocratique du Congo. Cette rencontre a été l’occasion pour le chef de l’État d’échanger sur la situation sécuritaire préoccupante qui touche […]
ACTUALITÉSLe président Félix Tshisekedi a rencontré ce mardi 3 décembre à Kinshasa, un groupe de 50 enfants déplacés originaires de l’Est de la République Démocratique du Congo.
Cette rencontre a été l’occasion pour le chef de l’État d’échanger sur la situation sécuritaire préoccupante qui touche les populations victimes des conflits armés, notamment ceux engendrés par les rebelles du M23 dans la province du Nord-Kivu.
Accompagné de la première dame Denise Nyakeru, Félix Tshisekedi a réaffirmé son engagement à restaurer la paix et à permettre aux déplacés de retrouver leurs villages.
Dans son discours, il a encouragé les jeunes enfants présents à transmettre un message rassurant à leurs familles restées sur place :
« Dites à vos familles que vous avez vu le président et qu’il a dit que tout va revenir dans l’ordre très bientôt. » a-t-il indiqué.
Les enfants, arrivés à Kinshasa dimanche dernier, ont participé à des ateliers organisés par le FONAREV, visant à promouvoir la paix en République Démocratique du Congo. Leur présence dans la capitale témoigne d’un désir de voir un retour durable à la tranquillité dans des territoires tels que Nyiragongo, Rutshuru et Masisi, gravement affectés par les violences.
Cependant, cette promesse de paix intervient dans un contexte tendu où les affrontements entre les forces gouvernementales congolaises et le M23 se sont intensifiés récemment, provoquant une nouvelle vague de déplacés, parmi eux de nombreux enfants.
Le Réseau des journalistes amis de l’enfant (RJAE) a pris part ce mercredi au forum communautaire sur l’état de la liberté de presse à Bukavu, chef-lieu du Sud-kivu organisé par l’organisation Journalistes pour la promotion de la démocratie et des droits humains (JPDDH.) L’objectif de […]
ACTUALITÉSLe Réseau des journalistes amis de l’enfant (RJAE) a pris part ce mercredi au forum communautaire sur l’état de la liberté de presse à Bukavu, chef-lieu du Sud-kivu organisé par l’organisation Journalistes pour la promotion de la démocratie et des droits humains (JPDDH.)
L’objectif de ce forum était de renforcer le plaidoyer avec les autorités locales pour les amener à maîtriser le rôle des médias dans la consolidation de la démocratie et les engager à garantir la liberté d’expression.
L’orateur du jour, le président de l’Union nationale pour la presse du Congo (UNPC) au Sud-kivu, Darius Kitoka Tombo a dans son explosé, parlé de la liberté de presse qui jusqu’à présent n’est pas garantie, vu les taxes qui asphyxient les médias, les menaces contre des journalistes, ainsi que des journalistes qui travaillent sans contrat les uns et les autres sous payés.
Il a salué l’avènement des médias à Bukavu qui pour la première fois ont comme créateurs, des professionnels des médias, citant Bukavu FM, Pouvoir FM, Radio des droits humains, la Prunelle, Jambo FM… ainsi que la synergie des journalistes pour une thématique, une cause commune comme le RJAE, AFEM, AJSC.
De sa part, la directrice du média Jambo FM et coordinatrice de JPDDH au Sud-kivu, Angel Kalulu s’est réjouie de voir que ce forum qui a réuni les acteurs étatiques, les acteurs sociaux et les responsables des médias à Bukavu, va contribuer à la liberté de presse, gage d’un véritable état des droits.
La liberté de presse est aussi souhaitée par le RJAE, pour faciliter ses journalistes à produire des articles, des émissions et des vidéos en faveur des enfants.
Pour la promotion des droits des enfants, RJAE/Sud-kivu a mis sur place un média en ligne » Watoto News » et à travers le RJAE -Junior, prépare les enfants à a être aussi des défenseurs des droits de leurs pairs tout en accompagnant leurs diverses activités.
Watoto News, Moïse Agawam
Les guerres à répétition en RDC sont les premières causes des violations des droits de la jeune fille, a déclaré la militante des droits des femmes et des enfants, Venantie Bisimwa Nabintu, lors d’une interview accordée à Watoto News à Bukavu, ce mardi 3 décembre. […]
ACTUALITÉSLes guerres à répétition en RDC sont les premières causes des violations des droits de la jeune fille, a déclaré la militante des droits des femmes et des enfants, Venantie Bisimwa Nabintu, lors d’une interview accordée à Watoto News à Bukavu, ce mardi 3 décembre.
Elle explique que pendant la guerre, tous les droits humains sont violés et principalement les droits des jeunes filles et garçons, vu leur vulnérabilité liée à l’âge.
» La mort, les violences sexuelles, les maladies, les grossesses précoces, l’interruption du cursus scolaire, la pauvreté sont entre autres les conséquences des guerres qui touchent plus la jeune fille » a expliqué Venantie Bisimwa Nabintu.
Celle-ci dit profiter de la plume de Watoto News pour demander aux enseignants à l’école de tenir aussi compte des droits des jeunes adolescentes, les droits spécifiques liés à leur. nature et âge.
Selon notre source, quand on parle des violences faites aux femmes, on a tendance à minimiser la jeune fille, une femme à devenir.
» Dès le bas âge, la famille, l’école et la société devront apprendre à la jeune fille ses droits » a suggéré madame Nabintu, souhaitant voir l’enseignement dans les écoles s’adapter aux réalités congolaises.
Elle lance un appel pressant à ceux qui sont derrière les guerres à travers le monde à revenir à la raison, et permettre à tout le monde de jouir de ses droits.
Watoto News, Moïse Agawam
La 4ème phase de la campagne de vaccination contre la poliomyélite a été lancée ce mercredi 4 décembre 2024 en ville de Butembo au Nord-Kivu. A cette occasion, les personnes vivant avec la poliomyélite invitent les parents à faire vacciner leurs enfants pour les prévenir […]
ACTUALITÉSLa 4ème phase de la campagne de vaccination contre la poliomyélite a été lancée ce mercredi 4 décembre 2024 en ville de Butembo au Nord-Kivu. A cette occasion, les personnes vivant avec la poliomyélite invitent les parents à faire vacciner leurs enfants pour les prévenir de cette maladie qui rend infirme.
Des enfants et leurs parents, des autorités de la ville, ainsi que des autorités sanitaires ont participé au lancement de cette campagne de vaccination qui est à sa 4ème phase. Parmi les participants, deux femmes qui souffrent de la poliomyélite. Il s’agit de Kavira Muvingwa et Kahambu Germaine.
Elles sensibilisent les parents à faire vacciner leurs enfants pour les empêcher de tomber malade de la polio comme eux.
Sur place, le représentant du Programme élargi de vaccination a indiqué que pour cette quatrième phase, plus de 982.143 enfants sont attendus dans les 17 zones de santé de la division provinciale de la santé Antenne de Butembo.
Avant le lancement officiel, le Parlement d’enfants de Butembo-Lubero a déclamé un poème pour sensibiliser les parents à faire vacciner les enfants.
A la suite, le Maire de Butembo, Mowa Baeki Telly Roger, a lancé officiellement cette activité. S’en est suivie l’administration du vaccin à quelques enfants qui étaient présents.
Notons que cette campagne ira jusqu’au 7 décembre. Les enfants de 0 à 5 ans sont tous concernés par cette vaccination.
Une jeune fille d’environ 20 ans a été brûlée vive ce lundi 2 décembre, après avoir été accusée de sorcellerie à Ikoma, en territoire de Walungu, au Sud-Kivu, rapporte une correspondante de Watoto News. Selon des témoins, la victime a été accusée d’être à l’origine […]
ACTUALITÉSUne jeune fille d’environ 20 ans a été brûlée vive ce lundi 2 décembre, après avoir été accusée de sorcellerie à Ikoma, en territoire de Walungu, au Sud-Kivu, rapporte une correspondante de Watoto News.
Selon des témoins, la victime a été accusée d’être à l’origine de la mort d’une femme et d’une fille d’une même famille, emportées par les eaux de la rivière Ngundjwe après les pluies diluviennes du vendredi 29 novembre.
Tout en condamnant cet acte de justice populaire, les autorités locales demandent à la population de ne pas se rendre justice elle-même et de laisser l’État faire son travail, peu importe les accusations.
Pendant ce temps, des défenseurs des droits humains appellent la justice à se saisir de ce cas en menant des enquêtes, afin que les responsabilités soient établies et que les auteurs répondent de leurs actes conformément à la loi, pour décourager cette pratique.
Plus de 50 élèves d’une école primaire ont été frappés par la foudre, au cours d’une violente tempête ce lundi 2 décembre 2024 à Tchabi, dans le territoire d’Irumu en Ituri. Selon des sources locales, ce phénomène météorologique inattendu s’est produit aux alentours de 11 […]
ACTUALITÉSPlus de 50 élèves d’une école primaire ont été frappés par la foudre, au cours d’une violente tempête ce lundi 2 décembre 2024 à Tchabi, dans le territoire d’Irumu en Ituri.
Selon des sources locales, ce phénomène météorologique inattendu s’est produit aux alentours de 11 heures, plongeant la communauté locale dans l’angoisse.
Le président de la communauté Nyali, rapporte que bien que cet incident ait causé une grande frayeur et des blessures chez les élèves, aucune perte en vies humaines n’a été enregistrée.
Les blessés reçoivent actuellement des soins médicaux dans une structure sanitaire de la place. Cependant, cette situation soulève des préoccupations majeures concernant la sécurité des enfants, face aux catastrophes naturelles.
« La pluie était intense et a créé un environnement dangereux pour les enfants,» a déclaré Faustin Mboma. Celui-ci exprime son inquiétude face à la récurrence de tels événements dans cette entité souvent touchée par des conditions climatiques extrêmes.
Il appelle les autorités locales à prendre des mesures urgentes pour protéger les élèves et garantir leur sécurité lors de ces catastrophes.
Le mouvement citoyen Lutte pour le Changement (LUCHA) dans le territoire d’Idjwi, au Sud-Kivu, appelle à une intervention urgente des autorités et des humanitaires en faveur des écoliers de l’îlot de Muhembe, contraints de traverser chaque jour le lac Kivu pour se rendre à l’école […]
ACTUALITÉSLe mouvement citoyen Lutte pour le Changement (LUCHA) dans le territoire d’Idjwi, au Sud-Kivu, appelle à une intervention urgente des autorités et des humanitaires en faveur des écoliers de l’îlot de Muhembe, contraints de traverser chaque jour le lac Kivu pour se rendre à l’école située sur l’îlot voisin de Nyamizi, au péril de leur vie.
Claude Yalala, militant au sein de ce mouvement, l’a déclaré ce lundi 2 décembre. Selon lui, ces élèves, âgés pour la plupart de moins de 12 ans, voyagent sans la moindre supervision d’un adulte et arrivent souvent à l’école trempés.
«Une quarantaine d’écoliers et sept élèves originaires de Muhembe empruntent quotidiennement une embarcation de fortune pour rejoindre leur école. Entassés dans cette pirogue à rame, ces enfants sont exposés à de graves risques de noyade, surtout dans les conditions climatiques actuelles,» indique-t-il.
Et d’ajouter : « Nous redoutons un drame si aucune mesure n’est prise pour garantir leur sécurité. Le mouvement LUCHA exhorte les autorités et les personnes de bonne volonté à intervenir d’urgence pour protéger ces enfants. »
Cette situation alarmante n’est pas isolée. Selon diverses sources, les écoliers de l’îlot de Birende, dans la chefferie de Rubenga, sont eux aussi contraints de traverser le lac quotidiennement pour accéder à l’éducation, au mépris des dangers encourus.
L’absence des gilets de sauvetage adaptés aux enfants se fait observer lors des navigations sur la lac Kivu, dans l’Est de la République démocratique du Congo. Au sein des différents bateaux, les enfants de moins de 15 ans sont obligés de porter les gilets destinés […]
ACTUALITÉSL’absence des gilets de sauvetage adaptés aux enfants se fait observer lors des navigations sur la lac Kivu, dans l’Est de la République démocratique du Congo. Au sein des différents bateaux, les enfants de moins de 15 ans sont obligés de porter les gilets destinés aux adultes.
Mme Grâce Muhigirwa, vendeuse-grossiste des braises faisant le trafic entre le territoire de Kalehe (Sud-Kivu) et Kituku (Goma en province du Nord-Kivu), ajoute que même dans des pirogues motorisées, les gilets adaptés aux enfants ne sont pas disponibles. Elle sollicite l’intervention des autorités compétentes.
« En tant que parent, je constate que jusque là il n’y a pas de gilets de sauvetage adaptés aux enfants. Lors du naufrage du bateau M/V Merdi en octobre dernier, plusieurs cadavres des enfants ont été repêchés de l’eau. Je ne comprends pas toujours comment les armateurs n’ont pas pensé aux gilets adaptés aux enfants. Je me demande si cette catégorie de personnes n’a pas le droit d’être protégée, » a-t-elle fait savoir.
Et d’ajouter : « Je demande avec insistance aux propriétaires des bateaux et pirogues motorisées, de chercher des gilets de sauvetage adaptés aux enfants de 6 mois jusqu’à 15 ans afin qu’ils soient protégés au même niveau que les adultes » insiste-t-elle.
Aux gouvernements provinciaux (Nord-Kivu et Sud-Kivu), Grâce Muhigirwa sollicite leur implication afin que chaque bateau qui navigue sur le lac Kivu réponde aux normes et remplisse toutes les conditions lui permettant de naviguer,. Elle appelle même à interdire les bateaux ne disposant pas de gilets de sauvetage pour enfant de naviguer.
Pour rappel, en début novembre dernier, un premier lot de 500 gilets de sauvetage destinés aux adultes, sur 5 milles promis par le gouvernement provincial du Sud-Kivu a été remis aux armateurs du territoire de Kalehe. Un acte qui a renforcé la détermination de l’Etat Congolais dans la prévention des incidents macabres régulièrement enregistrés sur le lac Kivu, à l’instar du Naufrage du bateau Merdi le 03 Octobre dernier.
Bonane Kanoti Robert est le nouveau président du Conseil territorial de la jeunesse (CTJ) en territoire de Kalehe. Ceci est le résultat des élections tenues samedi 30 novembre 2024 au chef-lieu du territoire de Kalehe. À cette occasion, plusieurs organisations de jeunes, en provenance de […]
ACTUALITÉSBonane Kanoti Robert est le nouveau président du Conseil territorial de la jeunesse (CTJ) en territoire de Kalehe. Ceci est le résultat des élections tenues samedi 30 novembre 2024 au chef-lieu du territoire de Kalehe.
À cette occasion, plusieurs organisations de jeunes, en provenance de différents coins du territoire, se sont mobilisées pour choisir les nouveaux animateurs au sein du Conseil territorial de la jeunesse.
Bonane Kanoti Robert remplace M. Éric Shirika Bisonga, qui était à la tête du CTJ depuis plus de six ans. Le nouveau président élu remercie vivement tous ceux qui, de près ou de loin, ont contribué à la réussite de ces élections.
« J’adresse mes sincères félicitations à tous les membres élus pour leur engagement à promouvoir et défendre les intérêts de la jeunesse de Kalehe. Je remercie également toutes les personnes ayant contribué à la réussite de ce processus électoral, que ce soit de manière directe ou indirecte. Une reconnaissance particulière va à l’administrateur chargé des questions politiques et administratives du territoire de Kalehe, dont le soutien a été déterminant pour cette réussite », a-t-il indiqué.
Il appelle tous les jeunes à continuer à œuvrer dans l’unité, la solidarité et la détermination pour contribuer au développement de leur territoire.
Notons que des élections des Conseils territoriaux de la jeunesse sont organisées depuis mi-novembre dans différents territoires de la province par le ministère de la Jeunesse, afin de doter ces structures de nouveaux animateurs.